UN PHOTOGRAPHE DE METIER

Présentations …

Un artiste depuis 1996

Plus de vingt ans d’expérience, c’est l’assurance d’un professionnalisme et d’un photographe passionné.

Et bien le voilà le photographe !

Tantôt sobre, un peu timide, un peu passe-partout, dirons-nous.

Tantôt dans la rigolade, un peu voyou, farceur, capable des pires facéties.

Tantôt sérieux, lorsque je prend mon appareil photo et commence à régler mon matériel.

Tantôt rieur à essayer de vous détendre, lorsque les réglages sont faits et que la séance de prises de vues peut commencer !

Revenons à mes débuts…

Je suis dans la photo, oui, mais au fait, pourquoi ?

En 1996, j’ai acheté mon 1er appareil photo, comme ça, sur un coup de tête. Et puis, cette activité m’a plu, tout de suite, j’ai été dévoré. Fixer les petits bonheurs familiaux sur le papier, les mariages, les anniversaires, les copains, de quoi me rassasier d’images. Photographier les siens, c’était un bon début !

Je les remercie tous, même ceux qui ne supportaient pas d’être pris en photo, hein mon Amour !

Il y a les paysages, la mer, la nature, la Bretagne. Vous savez, cette région où l’on respire si bien…

Il y a eu ensuite mes premiers modèles, des demoiselles ! Et puis quelques couples, des enfants, toujours la petite famille et aussi les soirées copains…

Et là, j’ai repensé à notre photographe de famille, chez qui mes parents m’emmenaient faire les photos d’identité et les portraits. Merci Roger Puyet !

C’était quelqu’un de sympa, rigolo, très pro. Dans son studio, ça sentait la photo, cette odeur de révélateur. Tout petit ça m’impressionnait, j’aimais y venir, le regarder travailler, l’écouter raconter des blagues…

Formation obligatoire !

A l’époque, on ne se posait pas de question, on entrait à l’école photo. Pour moi, ce fût Paris et l’école EFET.

De retour en Bretagne, à Plougastel, je suis pris en stage de validation chez Jean-Yves et Soize Kerneis.

Ils m’ont tout appris, les gens, le studio, la boutique. J’y ai réalisé mes premières photos avec un gros stress. C’est là que ça a commencé à vraiment compter.

La psychologie aussi : Comment obtenir le meilleur de mes modèles, pour qu’ils repartent avec de jolies photos.

Ces deux là m’ont tout donné pour que par la suite, je puisse voler de mes propres ailes.

Jean-Yves n’est plus parmi nous aujourd’hui, mais je pense à lui très souvent.

La formation, c’est aussi en continu, tout au long de l’année. Des stages organisés par l’AFMI. On y retrouve  la technique, l’esthétique, la psychologie, le marketing,

et beaucoup d’échange avec des photographes de toute la France. De quoi entretenir cette grande passion, quoi !

« C’était ça que je voulais faire et qui allait changer ma vie. »

Titres et reconnaissances

Pour évaluer mon travail, je présente un dossier au Titre de Portraitiste de France, en moyenne tous les quatre ans.

Je l’ai obtenu à trois reprises (2007, 2013 et 2017). YOUPI ! Ça fait du bien.

Pour être titré, il nous faut présenter un dossier de douze photos de portraits représentant le mariage, l’enfant, la famille, la maternité, l’adulte et de style libre. Le jury est composé de Meilleurs Ouvriers de France, de Master Qualified European Photographer et Qualified European Photographer.

En 2017, seuls 110 photographes français ont reçu ce titre, je me place parmi les 60 premiers.

Voici 6 images présentées en 2017.

On prend rendez-vous ?

Se rencontrer c’est toujours un plus pour des photos réussies et de qualité.

RGPD